La première fois que j'ai ouvert le premier livre d'Anton Parks, peu après sa publication en 2005, je dois avouer que j'étais traversé par un certain scepticisme et quelques a priori. En effet, Anton Parks se fondait sur des expériences personnelles et donc subjectives et bizarres de la conscience qui lui donnaient accès à un monde étrange, incroyable et très lointain pour écrire son livre et donc, relater ce qui pouvait bien être l'histoire des entités qui ont été impliquées dans la genèse de l'humanité. Parce qu'une partie de mon esprit demeure très "conservateur" ou encore, d'une façon plus élégante et hypocrite, j'ai toujours éprouvé, par réflexe "journalistique", une certaine méfiance à l'égard des récits de channelling, de remote viewing (vision à distance) et de voyages astrales. À moins que... À moins que l'auteur s'avère avoir les pieds sur terre et qu'il soit capable de produire un lien concret entre son expérience personnelle et des éléments de réalité relevés par les sciences exactes ou les sciences humaines. Ce qui s'est avéré être le cas avec Anton Parks comme j'ai pu m'en rendre compte au fur et à mesure de la lecture de son ouvrage et du suivant.